Austérité : le Front de Gauche lance sa lutte en Lorraine

Publié le par Le blog de la Gauche Anticapitaliste du Tarn & Garonne

Austérité : le Front de Gauche lance sa lutte en Lorraine

Jean-Luc Melenchon (accompagné de Clémentine AUTAIN, de Myriam MARTIN - Gauche Anticapitaliste-, de Christian PICQUET et de Pierre LAURENT) est arrivé avec sa verve et ses arguments. A la tribune du Parc de Exposition de Metz, le président du Front de gauche aiguise son discours contre le gouvernement socialiste ou encore la finance et parle ainsi des "plus forts" : "Comme elles sont inconscientes, ces élites prétentieuses, arrogantes (...) qui ont plongé le vieux continent dans ce moment où ceux qui commandent semblent ne rien voir de ce qui est en train de mûrir dans les profondeurs obscures du ressentiment populaire".

Dans la salle, juste avant les prises de paroles, une délégation de sidérurgistes de la CGT de Gandrange et de Florange ont donné de la voix. Pour certains d'entre eux, la journée du 23 janvier 2013 avait été longue avec ce déplacement à Paris pour remettre la pétition en faveur de la nationalisation. Tous sont venus chercher du réconfort auprès de celui qui semble à leurs yeux, être le seul capable de leur venir en aide. Geste symbolique, ils ont offert à Jean-Luc Melenchon un casque de fondeur ! Pour le protéger des coups durs à venir ?

France3.fr - Par Hélène Messang - Publié le 24/01/2013

Austérité : le Front de Gauche lance sa lutte en Lorraine

Discours de Myriam Martin, porte parole de la Gauche anticapitaliste, à l'occasion du meeting de lancement de la campagne "L'alternative à l'austérité, c'est possible !", à METZ 23 Janvier 2013.

Discours de Discours de Jean-Luc Mélenchon, Co-Président du Parti de gauche, à l'occasion du meeting de lancement de la campagne "L'alternative à l'austérité, c'est possible !", à METZ 23 Janvier 2013.

Austérité : le Front de Gauche lance sa lutte en Lorraine

Les salariés d'ArcelorMittal Florange délogés sans ménagement par les forces de l'ordre

Après s'être rendus à Matignon et s'y être enchaînés pendant quelques minutes peu avant 8h, neuf salariés d'ArcelorMittal Florange ont été délogés sans ménagement par les forces de l'ordre. Une décision des services du premier Ministre au motif qu'"aucune demande de rendez-vous" n'avait été faite.

"On a pris des coups et ils nous ont traîné par terre" a témoigné Edouard Martin chez nos confrères d'I-Télé. "On est venu dénoncer un accord qui fragilise Florange et risque de le condamner à court terme. Le repreneur (le mosellan Bernard Serin) est toujours sur les rangs et il ne s'agit pas de nationaliser ad vitam aeternam, juste de retirer Florange des griffes de Mittal" pour le confier à cet " opérateur industriel privé qui lui est prêt à investir, à maintenir l'emploi et même à faire des embauches" (...)

France3.fr - Par Jean-Christophe Dupuis-Remond - Publié le 23/01/2013

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Les métallos de Florange s'enchaînent à Matignon

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